Les grandes écoles hôtelières intègrent aujourd’hui des enseignements que l’on retrouve dans les business schools : finance, marketing, management ou encore gestion, auxquelles elles ajoutent un atout différenciant : l’apprentissage du savoir-être, une compétence indispensable dans l’univers de l’hospitality et dans bien d’autres secteurs.
Virginie Blanchet, responsable marketing de FERRANDI Paris, explique en quoi les écoles d’hôtellerie peuvent venir concurrencer les grandes écoles de commerce.
Une rigueur qui concurrence les écoles de commerce ?
Sélectives et exigeantes, les formations supérieures d’hôtellerie partagent en effet de nombreux points communs avec les écoles de commerce. « Chez FERRANDI, nous cultivons un niveau académique élevé, porté par des enseignants-chercheurs, mais aussi par des professionnels reconnus, comme des Meilleurs Ouvriers de France ou des chefs issus de grandes maisons », explique Virginie Blanchet. Cette exigence se traduit par une rigueur sans faille : service, assiette, accueil… chaque détail doit être irréprochable pour offrir la meilleure expérience client.
Le « savoir-être », le plus de l’école hôtelière
L’un des points forts des écoles d’hôtellerie réside dans le développement des soft skills. « Le savoir-être est une clé de réussite dans notre secteur. Au-delà des connaissances en management ou en finance, nous formons nos étudiants à l’adaptabilité, au sens du détail et aux codes de l’hospitality », souligne Virginie Blanchet. À FERRANDI ces compétences se renforcent particulièrement lors des stages à l’international et en France, qui confrontent les étudiants à des cultures et des clientèles très diverses.
Entre tradition et innovation
L’établissement revendique également un positionnement singulier : faire cohabiter tradition et modernité. Héritage culinaire français, art de recevoir et excellence du service se conjuguent avec de nouvelles approches : cuisine plus durable, équitable et locale, hôtellerie responsable, concepts disruptifs. L’école encourage aussi l’entrepreneuriat, à l’image de ses alumni qui ont créé des start-up comme Dayuse, service de réservation de chambres d’hôtel en journée.
À LIRE AUSSI
– Nina Métayer : « Réussir dans la pâtisserie est une question d’envie, de volonté, d’engagement »
Des carrières multiples et évolutives
Avec un taux d’insertion de 92 % dans les 7 mois suivant la diplomation et 98 % de réussite aux examens, les perspectives offertes par FERRANDI Paris sont larges. « Nos diplômés peuvent évoluer dans des directions variées : restauration, hébergement, finance, ressources humaines, revenue management, communication, événementiel… Les passerelles sont vraiment très nombreuses », précise Virginie Blanchet. Cette transversalité fait des profils issus des écoles hôtelières des talents recherchés, bien au-delà du secteur de la gastronomie et de l’hôtellerie de luxe.
« Un secteur passion »
Si les similitudes avec les business schools sont réelles, les grandes écoles hôtelières conservent une identité propre. Elles s’adressent avant tout à des étudiants animés par la passion de l’hospitality. « La curiosité, l’ouverture internationale et le goût de l’excellence sont essentiels pour réussir dans ce secteur », conclut Virginie Blanchet.
La curiosité est également un critère « extrêmement important ». « Cela permet d’avoir une ouverture au monde. On prépare les étudiants à une carrière internationale ». Pour donner un aperçu des postes proposés par le secteur de l’hôtellerie, Ferrandi a par ailleurs édité un guide des métiers de l’Hospitality Management. Ce dernier permet de découvrir « les opportunités de carrière généralement méconnues en dehors des professionnels ».
On vous guide dans vos choix de carrière en vous présentant plusieurs métiers dans ce domaine.
Lien du guide de l’Hospitality Management de Ferrandi Paris : https://www.ferrandi-paris.com/sites/default/files/2023-10/Guide_des_metiers_de_Hospitality.pdf
Notre résumé en 5 points clés par L’Express Connect IA
(vérifié par notre rédaction)
Voici un résumé en cinq points clés de l’article sur le sujet : Les écoles hôtelières concurrencent-elles désormais les écoles de commerce ?
Une formation académique complète : Les grandes écoles hôtelières comme Ferrandi Paris enseignent des disciplines classiques des écoles de commerce telles que le marketing, la finance et la gestion, tout en s’appuyant sur des enseignants-chercheurs et des experts métiers reconnus (dont des Meilleurs Ouvriers de France).
Le savoir-être comme atout différenciant : Les écoles hôtelières mettent l’accent sur le « savoir-être » et les soft skills, essentiels dans les métiers de l’accueil et de la restauration. La rigueur, le respect des codes et l’adaptation multiculturelle sont au cœur de la pédagogie, avec des stages obligatoires à l’international.
Entre tradition et innovation : Ferrandi Paris forme à la fois aux fondamentaux de l’art de recevoir à la française et aux nouvelles tendances : cuisine végétale, hôtellerie durable, concepts innovants comme les réservations de chambres en journée.
De nombreux débouchés et passerelles : Avec un taux d’emploi de 92 % dans les 7 mois suivant l’obtention du diplôme, les écoles hôtelières ouvrent à des carrières variées : finance, revenue management, communication, événementiel… Les métiers sont évolutifs et permettent des mobilités internes dans le secteur.
Un secteur de passion et d’ouverture internationale : L’hôtellerie reste avant tout une filière de passionnés, exigeante mais riche en opportunités, où la curiosité et l’ouverture au monde sont valorisées. Ferrandi Paris accompagne les étudiants vers des carrières internationales et des métiers parfois méconnus via son guide dédié à l’Hospitality Management.















